Un jeune demandeur d’emploi sur trois, à Bruxelles, ne se présente pas aux convocations envoyées par Actiris lors des stages d’insertion professionnelle. En Wallonie, les évaluations négatives pour cause de non-représentation sont estimées à 18%. Pourquoi cet écart entre les deux régions et quels sont les dysfonctionnements à revoir pour Bruxelles?
Il y a donc largement de quoi se poser des questions ; celle des droits et de devoirs de chacun, celle du suivi d’Actiris et des moyens mis à la disposition de leurs conseillers pour mener à bien leur mission.
Sur le sujet, je vous invite à jeter un œil aux deux articles parus ce matin dans La Libre et La Dernière Heure. Bonne lecture!