Le MR craint pour l’avenir de l’identité francophone à Bruxelles Publié le Samedi 20 Juillet 2019 à 14h58 Par Belga Lors du débat au parlement francophone bruxellois ce samedi, le Mouvement réformateur (MR) n’a pas caché ses craintes pour le devenir de l’identité des francophones en Région bruxelloise après le transfert de compétences de
🚮 Reportage détaillé sur la gestion de la propreté à Anderlecht, réalisé par #LaLibre en collaboration avec le #BondyBlog (site des étudiants en journalisme de l’ #IHECS). Belle synthèse des différentes difficultés structurelles et humaines auxquelles notre commune est confrontée. Vers le reportage.
La lecture du dernier rapport concernant la zone de Police Midi confirme malheureusement la persistance d’une série de dysfonctionnements, qui me reviennent régulièrement ces dernières années. Il est plus que jamais urgent de repenser le fonctionnement global de notre zone de police, une des plus importantes du pays.
[vers ma proposition complète] Le parcours d’intégration obligatoire ayant à peine été voté à Bruxelles en avril 2019, il apparaît que de nombreux primo-arrivants ne pourront pas le suivre dans les faits, à cause du manque de places disponibles. La complexité institutionnelle bruxelloise a débouché sur la mise en oeuvre de deux parcours distincts :
[voir le texte de ma proposition] Dans le contexte environnemental et climatique que nous connaissons, il est plus que jamais indispensable de veiller à la préservation des derniers espaces ruraux en ville, de plus en plus menacés par l’étalement urbain et la spéculation immobilière. Cependant, classer une zone naturelle présente le risque de « figer »
Chers amis, La compétence bruxelloise du bien-être animal est encore bien trop peu exploitée ! La Wallonie a avancé beaucoup plus rapidement, avec un véritable code du bien-être animal et la mise en place d’une politique répressive efficace ! En 2018, 900 procès-verbaux y ont été dressés pour condamner des faits de maltraitance contre… 12
La ferme du Meylemeersch, propriété de l’organisme régional Citydev, demeure désespérément à l’abandon. Comme je le souligne dans cet article de la DH, c’est en quelque sorte le contre-exemple parfait de bonne gestion publique d’un bien immobilier !
