Le dernier rapport d’activités de la Stib, la société bruxelloise de transports en commun, rapporte que le taux de fraude sur l’ensemble de son réseau, en 2017, était de 5,6%. Soit une nouvelle augmentation après des taux enregistrés à 3,95% en 2015 et 4,15% en 2016. J’ai interpellé le ministre de la Mobilité Pascal Smet (sp.a) sur cette question. Dans les bus, particulièrement, les chauffeurs ne prennent plus que rarement la peine de contrôler la validité des titres de transport des usagers. Pourtant, dans la plupart des autres capitales européennes, on ne rentre tout simplement pas dans le bus avant d’avoir présenté son titre de transport au chauffeur, sans que cela semble occasionner d’inconvénients majeurs du point de vue de la fluidité du trafic. Pourquoi laissons-nous s’installer une telle désinvolture à Bruxelles ?
Voici l’article de la DH relayant mon intervention.